Aujourd'hui lundi 13 juin 2016, c'est quelque chose de nouveau.
Un article. *Une ébauche* avec un ton d’Aristocrate corrompue
Article qui, je pense, changera et évoluera au travers de la conception que j'estime passablement inconnue du temps ; sachant que j'approche le sujet en l'interprétant comme des boucles se répétant dans un rythme cyclique influencé uniquement par le passage de ce dernier.
(La prochaine étape sera de faire le lien comme quoi l'espace et le temps ne devraient pas être deux notions différentes. Seulement, étant une ignare douée seulement de ma connaissance limitée sur le sujet, je suis obligée de les concevoir comme on me les a présentés : Dissociables.)
Cet article sera - je pense - les prémisses d'une grande avancée dans ma façon d'appréhender mon travail ; en tout cas il s'agira d'une évolution de ma perception consciente du domaine dans lequel je souhaite m'épanouir qui m'aidera par la suite à mieux rationaliser mes buts afin de mieux me focaliser sur ce que je pourrais estimer comme les sujets les plus utiles à approfondir, et ce, afin de les associer à une idée de recherche qui - je l'espère - pourra encore par la suite me servir comme référence dans l'image qu'il me faudrait avoir comme guide pour continuer dans mon travail, si c'en est un !
(c'est une recherche quoi ! )
C'est pourquoi je ne le poste que bien longtemps après sa création, je dois faire ça bien !
Vous alliez quand même pas croire que j'allais me toucher et oublier mon blog pendant ma pause ? :D
Oui ce paragraphe est inutilement long, c'est censé être de l'humour. Haha.
Chapitre Premier de la suite Cohérence : Fonctionnement Humains
Cohérence
Chapitre Second : Le cycle du temps
On voit déjà les tournures de phrases évolutivement alambiquées et autres adaptations de mot artisanaux qui représentent si facilement l'état d’excitation et de détermination sujet à l'apparition d'épiphanie qu'est-celui qui favorise ma façon d'être presque organisée dans ce que j’appellerais un élan créatif visant à concrétiser ma façon de m'impliquer dans une vision réfléchie et analytique de sujet qui me tiennent à cœur.
Ps: "évolutivement" n’est pas classifié dans le domaine de la langue française.
En effet il y serait alors dispensable de part sa quasi-parfaite similarité avec le mot progressivement.
Mais trêve de brouhaha sans but précis que celui d’expérimenter des formulations extravagantes, j'ai envie que cet article soit moins divaguant que les autres alors venons-en aux faits dans l'espoir d'atteindre un but.
Cet article se place dans ma suite Cohérence, en effet il est issu d'une réflexion que j'ai mené seule depuis plusieurs années de façon très parcimonieuse et sans autres sources que mes observations. Seulement cette manière de penser, cette façon de faire à tendance à m'isoler dans une vision du monde... Onirique.
J'avais un jour écrit sur Boniface - alors que je devais être au collège - ceci :
"La vie, c'est des boucles formées de plusieurs points qui tournent et se déplacent.
Dans certains cycles de boucles, un catalyseur ou un élément perturbateur vient bouleverser les choses, brisant ainsi le rythme de la boucle.
Les points de la boucle cessent alors de s’accorder et partent chacun dans des directions différentes rejoignant ainsi d’autres cycles.
Ces boucles, on les voit dans nos vies, certaines chaque jour, chaque seconde tandis que d'autre se répètent sur plusieurs siècles.
Une journée, une seconde, un mois, une semaine, un an, un siècle, un millénaire, une décennie... Un millionième de seconde... une clope qui tourne autour d'un feu, un verre que l'on boit gorgée par gorgée, le rythme de nos années scolaires, la plante qui pousse puis meurt et nourrie d'autres plantes...
Sont autant de boucles qui ne se finiraient jamais sans l'arrivée d'élément perturbateur que l'on peut systématiquement associer au temps.
La consommation de la clope, le soleil, la lune...
Ainsi dans cette conception des choses, une droite ne passant par aucun point, un point unique et le néant absolu sont les seuls entités n'exprimant aucune boucle. "J'offre de choisir le thème d'un prochain article au premier qui me trouvera ce que veut dire "Boniface" dans cette phrase et pourquoi je l'écris ainsi.
Et maintenant quelques années plus tard, voila que je me suis mise à lire Freud, notamment un petit paragraphe de ses écrits qui m'a évoqué ce petit bout de texte.
Qu'est ce que je voulais dire par la ?
Des boucles, oui, mais pourquoi des boucles ?
Pourquoi pas une droite ?
En fait je parle de Déterminisme et de Fatalisme... A ma façon.
A ma façon car j'espère apporter ici du contenu qui pourrait approfondir ces visions...
presque pessimistes de la chose.
Presque pessimiste car si la définition Wikipédia dit :
"Dans un sens affaibli, le fatalisme peut désigner le défaitisme ou le pessimisme de celui qui laisse le destin suivre son cours et abandonne le combat, ou quitte une situation délicate en baissant les bras."
Pour moi même, celui qui ne baissera pas les bras et donnera de sa personne sera autant soumis à cette notion que les autres... et même si sa volonté serait de défaire cette notion, alors sa volonté même y serait résultat.
Logique mais pourtant paradoxal.
Le déterministe a conçu ma pensée contre le déterminisme.
J'adore.
Neutralité du monde quand tu tiens ton concept.
Comme tu l'auras compris lecteur, il me parait possible de voir Vie et la conception que l'on en a comme étant constituée d'une multitude de cycles qui se répètent et se transforment et que l'on appelle le temps.
Mathématique donc calculable... et potentiellement prévisible.
Idéalement, si cette réflexion était parfaitement vraie, on pourrait dans un premier temps trouver ces boucles, lesquels se répètent, et ainsi prévoir leur retour afin de les supprimer/modifier. Utopique ? Onirique ? Ma foi, on vit à une époque où plus rien ne semble impossible.
L’humanité telle qu'on la connait est vouée à disparaître et si cette réflexion m'est venue j'estime qu'elle est potentiellement applicable, ne serait-ce qu'à petite échelle.
En effet bien souvent la vie de quelqu'un reprend nombre d'actions qui ont déjà été faites dans son passé, notamment au niveau de la voie professionnelle liée à l'arbre généalogique.
Jusque-là les chats ne faisaient pas des chiens.
On pourrait se dire que travailler là dessus permettrait de lier des connaissances transmissibles dans le temps à certains métiers visiblement sans rapport.
Un fils de musicien aurait-il des facilités à devenir mathématicien ?
On peut illustrer cette vision par des roulements à billes qui ont d'autres roulements à billes à la place des billes.
A ceci près que les roulements à billes pourraient s'entrecroiser.
Il est évident que c'est un sujet qui devrait être très impliqué en psychanalyse puisque le principe de cette façon de travailler est de reprendre conscience des boucles qu'il y a dans notre vie afin de ne pas les répéter. C'est en partie pourquoi je vais me servir dans un premier temps d'exemple et de logique psychanalytique pour étayer ma réflexion.
Comme le souligne Freud :
"Le refoulé, c'est un peu comme une fragilité à fleur de peau qui n'attend que d'être effleurée pour faire surface."
Et par refoulé, il entend tout ce que nous pensons... sans y penser.
Refoulé involontairement si par "volonté" on entend "Désir conscient de..."
Notre inconscient, nos pulsions qui sont à l'origine de nos pensées et de nos actes au delà de notre conscience.
Autrement dit, un fait vécu ou non qui nous a marqué mais que l'on se "refuse" de voir.
Que l'on ne peut voir.
Après, ce fait ne devient pas non plus invisible et imperceptible en nous-mêmes.
En effet, ajoutons à cela la notion de la Compulsion de répétition.
(Plus ou moins le sujet de l'article à échelle individuelle)
"Obligé de répéter le refoulé comme expérience vécue dans le présent au lieu de se le remémorer comme un fragment du passé"
En simple : Une obsession à répéter qui fait suite à un échec de la remémoration
...
En plus simple : Avoir ce vécu "inavoué" en nous nous mène inconsciemment vers des scènes similaires.
Voir Dépression : Aliénation et surtout Dépression : Incarnation comme exemples.
Ajoutons une autre notion : Le transfert
"Le transfert est un concept de psychanalyse vu dans un premier temps comme un simple déplacement d'affects d'une personne à l'autre."
En très simple, et toujours dans la même suite : Plutôt que de se rappeler la scène, nous retrouvons dans nos vies quantités de chose que nous y associons, sans pour autant nous amener la scène originelle à l'esprit.
Selon Daniel Lagache :
« le transfert en psychanalyse, est essentiellement le déplacement d’une conduite émotionnelle par rapport à un objet infantile, spécialement les parents, à un autre objet ou à une autre personne [...] »
Si ici on parle du point de vue d'un analyste à propos de traumatisme, je pense pour ma part que cette notion peut s’appliquer à bien plus petite échelle partout dans notre vie.
Exemple connu : complexe d’Œdipe.
On peut simplifier ce complexe en disant que l'affect envers le parent de sexe opposé ou du sexe qui nous attire se transmet ensuite dans les personnes qu'incarnent nos relations amoureuses.
Théoriquement...
Peut être la qualité du transfert définit-elle la qualité et la durabilité de la relation ?
Sûrement ce qui explique la fréquente absence de sympathie au premier contact des pères avec l'amoureux de leur fille :
"Est-il capable de faire ce que je fais aussi bien que moi ? Prendre soin de sa vie."
Même s'il est pertinent de faire la remarque que justement, + que ses propres valeurs le père transmet aussi à la fille ce qu'elle ne veut pas voir de lui chez son partenaire. Il lui transmets des motivations à ne plus voir les problèmes que l'enfant à observer dans son éducation.
Magnifique témoignage du capitaine !
Peut être va t- il alors dans le "bon sens" que dans une relation que les deux figures masculines du père et de l'aimant commencent par s'opposer ?
Mais je m'égare ! Si je devais hypothétiquement citer d'autres exemples à plus petite échelle de la compulsion de répétition et du transfert :
- Ne vous arrive-il jamais d'associer une personne que vous rencontrez à une personne déjà existante, qui généralement ne fait plus partie de votre vie ?
Tiens ! C'est marrant le mec au comptoir la bas ressemble à mon pote machin du collège, je vais aller lui parler !
Cherchez un peu, un événement marquant de votre vie ne se reflète t-il pas dans vos actes ?
Depuis que mon chien est mort, je me surprends à dessiner des morts vivants, et j'ai une nouvelle façon d'appréhender la nécromancie dans les jeux vidéos.
(Tain mais quel exemple foireux)
Je tombe toujours amoureux de la même façon :
Seul, sans espoir de voir ma relation se concrétiser, ne serait-ce pas lié à ma relation parentale distante ?
(Ça parle la ! En effet quelqu'un qui analyserait ce genre de comportement en lui pourrait devenir maître de ses relations au lieu d'être soumis aux "règles" de son inconscient)
J'ai pris l'habitude de me saouler dès que j'ai un coup de déprime, je ne connais pas mon père mais il est mort de problèmes de santé, serais-je en train de refaire les mêmes erreurs que lui ?
Comme-ci je lui faisais ainsi un reproche des leçons qu'il ne m'a pas apprise ?
(Mon dieu je n'ai pas d'exemple simple... celui-ci est tellement hypothétique ! )
Mon pokemon préféré est toujours de type eau, serait-ce associé à l'absence de ma mère qui était nageuse par passion ?
...
Je tiens à préciser que ce sont des exemples plus ou moins inventés... ou déformés.
Donc, si ces exemples ne te conviennent pas ou ne parviennent point à illustrer ma penser :
Notre vie, toute vie sur terre est l'émergence d'une logique passée qui se répète à toutes les échelles.
La roue du temps tourne.
"D'un point de vue psychanalytique, si la compulsion de répétition peut-être envisagée sous un angle « négatif », c'est-à-dire comme une résistance au service du masochisme, de la pulsion de mort ou de la pulsion de destruction, elle doit aussi être vue comme ce qui fonde les chances d'une cure psychanalytique de permettre à l'analysant de découvrir de nouvelles défenses psychiques plus économiques et plus adaptées. Le patient sur le divan « répète » des rêves, des souffrances, des attitudes (masochistes ou destructrices), une manière d'être en relation avec la scène, mais il le fait aussi en espérant que l'analyse le mènera vers d'autres voies que celle de revivre la scène-dite. On pourrait aller jusqu'à dire que c'est parce qu'il « répète » dans un cadre différent (neutre et bienveillant) que la cure peut avoir lieu."Que faut-il comprendre ici ? Je ne vais pas m'exprimer de suite sur les pulsions de vie et pulsions de mort, qui semblent résumer notre façon de vivre en deux opposés Manichéen et inconciliable :
Eros et Thanatos
Ou encore
Faim et Amour
Même si j'estime que c'est potentiellement ce même conflit qui se retrouve dans toute les dualités redondante de notre histoire.
"Dans Malaise dans la culture (1929), Freud parvient à la conclusion que c'est ce « combat éternel » entre l'Éros et la pulsion de mort qui a déterminé de manière fondamentale le développement de la culture humaine et a joué un rôle primordial dans la formation du surmoi."
Ça te parle Zolak ?
Nan, ce qu'il faut comprendre ici c'est que l'humain a une tendance naturelle et inaliénable à vouloir retrouver ses sentiments et ressentis originaux, ceux d'avant l'apparition du temps dans son existence. Comme si tout n'avait pas été réglé.
Un peu comme si l’humanité avait pour but d'avancer en détruisant les rythmes de boucles afin d'aller le plus loin possible dans le temps avant qu'un élément perturbateur vienne réduire cette même humanité à néant.
(Destruction du soleil, Surpopulation, Inondation, Pollution, Guerre, Zombies etc...)
"Le principe de nirvana est un concept utilisé par Sigmund Freud pour désigner un principe du fonctionnement psychique : la tendance du psychisme à ramener vers zéro, ou le plus bas possible, toute excitation, toute quantité d'énergie qu'elle soit interne ou externe."C'est fou comme je retrouve ici tellement de choses issues de ma réflexion chaotique.
Comme quoi, ce n'est pas parce-que je n'en ai pas conscience qu'il n'y a pas un sens concret et productif dans ce que je fais.
Donc, théoriquement lecteur tu as désormais fait le lien entre ce dont je te parle et le sentiment d'intégrité qui est un thème récurrent dans mes articles. Intégrité = Pouvoir.
Pouvoir d'avoir pour toujours tout ce qu'on veut, car on ne veut rien de plus que ce qu'on a déjà.
Vivre et laisser vivre
Bien, maintenant je vais pouvoir partir dans quelque chose de bien moins concret comme j'en ai l'habitude.
Savez-vous qu'un enfant grandissant sans un de ses parents aura tendance à reproduire le comportement de ce dernier ? Normalement oui je viens d'en parler xD
On pourrait croire que de ne pas l'avoir comme modèle lui évite justement de lui ressembler, mais comme dit plus haut, + que ses propres valeurs le parent transmet à son enfant ce que celui-ci ne veut pas tenir de lui.
Notre vie est plus ou moins une répétition, une évolution de celle de nos parents.
Notre personnalité est - avant les facteur mémoriels - une émergence génétique de la génétique de deux parents en même temps.
Pléonasme ♥
Grosso-modo nous sommes un fœtus comparable en tous points avec celui de nos parents à ceci près que nous n'appréhendons pas la vie avec les mêmes expériences ni dans le même contexte donc n'ayant pas la même personnalité. En gros.
Ici on voit bien la mécanique de répétition.
Bien sûr on ne peut pas répéter la vie de nos parents, tout simplement car nous sommes différents d'eux génétiquement de par notre conception, fruit de deux individus.
Ensuite, nous ne vivons pas au même endroit, pas au même moment.
Si il était possible de naitre à la même place au même moment qu'un de ses parents, j'ose dire qu'on reproduirait un schémas de vie surement différent mais facilement comparable en de très nombreux points. Bien plus similaire que si un autre humain random naissait au même endroit.
Je ferais bien un exemple ici, je citerais bien un texte, n'importe quoi.
Mais je n'ai que mon expérience presque personnelle, plus des observations faites sur mon entourage.
Dans l'article le névrosé (le père) l'est a cause d'une situation, et c'est exactement sa névrose qui le fait recréer à son tour cette situation, ici à son enfant.
Autrement dit, tant qu'il ne travaille pas sur lui même il est condamné à refaire, reproduire ou répéter ce qu'il a vécu.
Son enfant s'il en fait un ne serait-il pas lui aussi névrosé de façon similaire ?
En suivant cette logique, ne pourrait-on pas associer ces idées à l'humanité entière ?
Ne serait-il pas possible de retravailler ces boucles afin d'éviter leur reproduction ?
Une Névrose ainsi ne pourrait-elle pas se faire défendre par les névrosés au point de devenir un trait de caractère "Normal" au fur et à mesure du temps ?
Certaine conceptions humaines n'apporteraient-elle pas des logiques qui seraient comme des névroses à notre nature d'être humain ?
L'histoire humaine, l'histoire de la vie serait-elle une boucle se répétant encore et encore ?
L’humanité ne devrait-elle pas être perçue comme un seul et même être humain qui devrait travailler sur lui même pour ne pas reproduire ses propres problèmes ?
Guerre, pollution... etc.
Un très bon exemple de cette logique est le film Cloud Atlas.
Ici le passé... est en fait le futur.
...
Création d'un système politique, échec de ce système, révolution, nouveau système politique, échec du système, révolution...
Révolution industrielle, création de chômage dû à des machines, puis création de nouveaux emplois pour entretenir ces machines...
Nouvelle révolution technologique, création de chômage à cause des nouvelles machines, puis création de métier etc.
Déterminisme.
Autre exemple dans une thèse mythiste qui m'a été évoqué pendant une discussion de plusieurs heures avec un personnage des nuits debout.
Une thèse mythiste est une théorie selon laquelle la personne de Jésus de Nazareth n'a pas de caractère historique.
Il est drôle de voir a quel point Jésus semble une copie de la religion que Ptolémée créa à partir de la mythologie grecque, elle-même visant a réunir les mythologies grecques et égyptiennes.
Mythologie Égyptienne qui elle-même on le sait n'est qu'une interprétation, une personnification de la carte des étoiles.
Ainsi les trois rois mages reconnaissant Jésus lors de l'épiphanie...
Ne seraient que les trois étoiles alignées au dessus de l'étoile du berger qui indiquerait une destination.
Il serait dans ce cas pertinent de se dire que ce qui à la base était un repère nommé dans le ciel pour les égyptiens a fini par s’implémenter dans l'histoire au point que Jésus ait réellement existé dans la conscience collective
Les religions sont-elles toutes le fruit d'une réflexion sur le ciel qui à la base se voulait explicable ?
De ces gens qui doutent de l'histoire de Jésus
Documentations sur "Jésus" Chrétien et non chrétiens
Selon certain, l'origine de Jésus
Si la réflexion des égyptiens au profit des étoiles a fait émerger une mythologie qui a pu se répéter symboliquement dans le temps au point que Jésus existasse réellement ou symboliquement à ce point, c'est que cette histoire de boucles est bien plus ancrée dans nos vies que ce qu'il n'y parait.
En tout cas, même si ceci n'est qu'un sujet flou auquel il manque en les références bien plus précise de celui qui m'en avait parlé, on a la un bel exemple des dimensions que j’attribuerais à ces boucles.
Un autre exemple de boucles pourrait se faire dans une théorie fantastique sur l'apparition de la vie, scénario que l'on retrouve souvent dans des œuvres de fiction :
- Notre planète qui abrite la vie explose pour une raison ou une autre, notamment a cause de sa forme de vie la plus avancé.
- Un petit bout de cette planète, qui abrite des cadavres de particule en décomposition vas s'écraser - comme tant d'autres - sur une autre planète encore vierge de toute vie.
- Les particules encore en activité des cadavres caché au cœur de ce bout de pierre existerais alors dans un autre contexte et les nutriments de ces cadavres pourraient entrainée une réactions chimique donnait lieu a une nouvelle vie.
- Vie qui existe, évolue, découvre une certaine forme de technologie, saigne sa planète à blanc et... La fait exploser.
Chapitre Premier de la suite Cohérence : Fonctionnement Humains
Parcours de liens intéressant :
Progrès de la théorie Freudienne
Paraphrénie
La Pensée magique
Syndrome de peter pan
Dionysos (Bacchus)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire