Pourquoi tant si peu encore de poèmes ?
Ma foi, j'aime la poésie.
Enfin mes poésies.
Je trouve ça... hyper facile de faire rimer des phrases.
Ça donne ce sentiment d'être dans une bonne phase,
Une bonne période de son existence qui nous inspire à croire qu'on est capable.
Et surtout: qu'on est Libre.
En premier...
Ce poème.
Premier poème que je n'ai jamais écrit.Je voulais lui garder une place particulière, je voulais lui donner une nouvelle chance.
Mais en fait, pas besoin.
Je connais ce poème de toute mon âme, je connais son rythme, sa mélodie, sa signification et son histoire.
Donc en fait, l'avoir laissé dans le vide du néant de mes pensées pendant si longtemps... c'était lui manquer de respect.
Me manquer de respect.
Il y a longtemps que je t'aime,
Je te dédie ce poème
pas pour t'embarrasser,
ni pour te déranger.
Mais simplement pour te dire,
ce qu'il m'arrive de sentir,
quand tu es près de moi
et que mon cœur bat.
La nuit je rêve de toi.
tu es à côté de moi.
Tu me tiens la main.
Mon cœur bat à son plein.
Il y a si longtemps que je t'aime.
Puisses-tu l'aimer ce poème.
Voilà.
Maintenant que celui là est mis en valeur.
Maintenant qu'il est là, écrit en violet sur noir...
Je peux passer à autre chose.
Quatre raisons.
J'aurais aimé dire à l'hiver,
toute l'histoire de mon père.
L'origine de ma misère,
comme de ma vie sur terre.
J'aurais voulu que le printemps,
connaisse le prix de mon sang.
Le poids follement intransigeant,
que je domine, merci le temps.
J'aurais apprécié de l'été,
qu'il observe mon passé.
qu'il me guide pour aller,
vers là où je peux rester.
Enfin mon ami l'automne,
qui jusque-là me donne,
la quantité en tonnes,
de tout ce qui m'étonne !
Prénoms
Peut être qu'au fond tout ça c'est con.
Peut être aussi
que c'est de la poésie.
Ou peut être encore que ça me
dévore.
Ou alors pourquoi ne serait-ce pas les trois à la
fois ?
Quelqu'un saura ici-bas.
Quelqu'un vivra tout ce qu'il y a.
Ça me vient si facilement... J'ai peut être du talent ?
Ou peut
être n'est-ce pas compliqué et que moi seul m'y suis essayé ?
Mais assez parlé de ça, je n'écris que que pour Moi.
C'est pour ça que je vais dévier, sur ce qui me pousse à créer :
Ce nom, source
d’inspiration toxique et léthargique.
Là où le bât blesse, je le confesse...
C'est que
ce prénom est tout sauf une répétition.
Ce que ça veut dire,
merci de ne pas en rire.
C'est que mon cœur à moi s'attache
partout et nulle part à la fois.
Ce nom n'est pas le premier... il ne sera pas le
dernier.
Qu'en est-il du premier ?
Je ne pourrai l'oublier.
Ainsi
que le deuxième et son amie le troisième.
Une constatation pour le premier prénom:
Il est en tout point similaire à celui d'avant-hier.
C'est bizarrement tourné je
dois m'en excuser.
J'essaye de dire que le quatrième est le même
que le premier.
Comme une gangrène, il a perduré, m'a enduré et m'a repoussé.
Il en est un cinquième et peut
être même un sixième,
Mais je ne m'attarderai pas dessus, ils
n'ont aucune vertu.
Pour conclure cette séance d'écriture, ce texte, ce fil où cette bavure
Je vais expliquer
l'objet de mes regrets.
Je me bats armé de ce que je n'ai pas à
donner.
Je remplis l’abîme profond qu'ont créé mes réflexions,
A l'aide d'illusion d'amour profond..
Mais plus le
temps passe, plus je trépasse,
Car ces rêveries s'effacent en
laissant des traces.
On pourrait croire qu'un beau rêve laisse une trace d'espoir pour
prendre sa relève.
Mais rêver de ce que l'on n'a pas est plus dur que d'espérer ce qu'on aura.
Mais en réalité avoir rêvé me laisse
fatigué.
Éreinté de devoir imaginer ce que j'ai arrêter
d’espérer.
Torturé de devoir assumer ce que je n'ose
demander.
Écorché de devoir affronter ce que je n'ose m'avouer.
Martyrisé d'avoir enfin dévoilé l'audace de ma
fragilité.
Mal installées
C'est comme si on s'était tout dit avec le temps.
Nous voilà sans jamais rien nous dire maintenant.
Pourtant comme on le disait si peu souvent...
On en a vécu des bons moments !
Il a fallut qu'on me le fasse remarquer.
Mais maintenant je ne peux l'oublier.
Nous sommes les seuls à si peu se déranger !
On devrait se retrouver pour en parler.
Comme un genre de malaise,
qui nous met mal a l'aise.
Justement parce qu'avant, il n'y en avait pas tant.
Il nous faudrait en trouver la genèse
Qui a étouffé la fournaise.
Mon avis sur ma poésie
Mettez vous à l'aise car voilà maintenant ma thèse !
J'ai cette théorie qui depuis longtemps me suit
Comme quoi la poésie est en déficit.
Suffit de voir mon niveau contre ceux d'en haut.
Plus personne ne pense - et c'est une évidence -
à tous ces écrits depuis jadis transcrits.
Dans ce monde cruel, une rime n'est plus belle.
Qu'importe la poésie, elle n'est pas jolie.
Elle n'est pas détestée, mais simplement oubliée.
Finis les quatrains et les alexandrins.
le badaud d'aujourd'hui se sert de sa souris.
Même moi, maintenant à cet instant,
ne suis qu'un néophyte qui aimait l'élite.
Donc mon ouvrage certes message,
je n'y ai mis qu'une image de ce qu'était les grands sages.
Poètes des lumières et philosophes fiers
Maîtres de l'écriture qui maintenant nous torturent
de la culpabilité de les avoir ignorés.
Mon Capitaine.
C'est avec douceur que j'ai envahi son cœur.
Sa beauté est l'osmose de ce qui hypnose.
Je veux lui sauver la vie à la tombée de la nuit,.
Je suis à ses côtés pour l'empêcher de sombrer.
Son navire traverse ce qu'il y a de pire.
Pourtant son élan reste passable et son talent stable.
Rien ni personne ne connait le point faible du capitaine.
Tant perdues.
Des fois je me demande ce qui t'a pris de passer autant de temps à
le perdre avec moi.
Je me questionne à propos de comment ça
fonctionne, du pourquoi j'ai fait ça...
Pourquoi toi, pourquoi moi,
pourquoi ton nom qui rime en A ?
Tous ces instants que tu passais à
me parler, à me laisser être à tes côtés sans jamais oublier que
pour toujours j'avais rêvé de t'aimer.
Toutes les fois où je suis
venu te chercher, tous ces matins où je me suis levé pour être à
tes cotés.
Sauf un.
Puis tout ce temps à penser et ressasser le fait
de t'avoir aimée, adorée et adulée au point de rêver de toi une
fois le jour passé.
Je me suis bercé d'illusions au point d'en
garder des lésions, mais j'en tire une conclusion, j'ai été con.
Mais maintenant me revoilà,
J'ai fini de chercher
pourquoi tu me supportais moi.
Parce que tu n'avais aucun choix.
Ce temps perdu n'est pas à toi mais il était à moi.
Du coup je
vais m'excuser, ce que je me suis infligé a dû t'en coûter.
Je
n'était agréable ni à fréquenter, ni à écouter... mais putain ce
que je t'ai collé.
Si jamais vous voudriez vous en servir, les citer, les modifier, les ré-écrire à votre façon...
Ma foi, faites-le.
Je dirais bien "Citez moi au moins" mais ça nique tout le charme de réciter un poème xD
Donc... pensez à moi et murmurer un merci.
Merci, Roi Reine :)
Poème d'Inari :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire